Atiq Rahimi vit en France depuis plus de 35 ans. Prix Goncourt en 2008 pour son roman Syngué Sabour, l’écrivain et réalisateur franco-afghan est invité par le Mucem à Marseille, demain et samedi. Il s’y dévoilera entre projections et spectacles. Quel regard portez-vous sur ce musée et comment envisagez-vous cette carte blanche ?Atiq Rahimi : Quand il y a des cartes blanches ou des hommages, je me dis toujours que c’est la fin ! (rires) Avoir une belle fin dans ce bel endroit, ça ne me déprime pas, au contraire. Cette architecture, cette végétation de ciment me touche beaucoup. La Méditerranée, c’est le berceau de rencontre de différentes civilisations et notamment Marseille, où on se sent un être qui vit dans le monde. Comment avez-vous préparé ces journée
Au Palais des papes d’Avignon, l’Amazonie sublimée de Sebastião Salgado
Un voyage, non pas au centre de une Terre, cependant au Sel de une terre, titre du film que Wim...