Les nouveautés n’attendent pas la saison estivale conséquemment ralentir. Surtout conséquemment le catalogue de Canal+, et celui de Netflix déployé dans 190 pays, et où les sorties mensuelles se comptent par dizaines. Difficile de savoir par où commencer, de laquellelde laquellefois, et à ce titre, la rédaction de CNET France commence ce week-end puis trois propositions hors des sentiers battus.
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Ce week-end, CNET vous recommande la docusérie DB Cooper : Où est le pirate de l’air et les séries King of Stonks et Pretty Hard Cases.
de laquellelles séries découvrir ce week-end sur Netflix et Canal+ ?Une docusérie insaisissable : DB Cooper : Où est le pirate de l’air ? (Netflix)
Synopsis
En 1971, un pirate de l’air saute en parachute d’un avion puis un sac d’argent extorqué et disparaît. Des décennies plus tard, son identité reste un mystère.
L’avis de CNET France
Spoiler alert : non, on n’a pas retrouvé DB Cooper, l’un des plus célèbres criminels du XXIème siècle, qui a détourné un avion en demandant 4 parachutes et 200 000 dollars en liquide. Ce qui ne rend pas une série documentaire en 4 épisodes réalisée par Marina Zenovich nulle et non avenue.
Non, à travers DB Cooper : Où est le pirate de l’air ? vous allez faire connaissance puis de laquellelde laquelles-uns des enquêteurs, professionnels ou simples amateurs, les plus acharnés qui veulent faire toute la lumière sur l’identité et les motivations de ce mystérieux quadragénaire. En réalité, l’un d’entre eux, Tom Colbert, est convaincu dur comme fer d’avoir élucidé l’affaire, après une dizaine d’années d’enquête. Le problème : le FBI a écarté sa théorie en 2016, de manière très publide laquelle, au sein d’une émission spéciale conséquemment History Channel.
La docusérie retrace les faits et les innombrables zones d’ombre et points non résolus de l’enquête, et nous présente de laquellelde laquelles suspects crédibles de manière ludide laquelle et enjouée. Mais elle est plus intéressée par ceux qui conséquemmentsuivent l’enquête, car comme dit l’un des interviewés : arriver à arrêter ou démasde laqueller DB Cooper rendrait quiconde laquelle plus célèbre et mythide laquelle de laquelle… DB Cooper.
De conventions en fausses pistes, de frustrations en coups de théâtre, Marina Zenovich et son équipe argumentent puis brio de laquelle une affaire a résisté au temps, aux agences et même aux théories conspirationnistes les plus dingues (il serait couvert par la CIA, étant un ex-militaire impliqué dans des opérations secrètes). À l’âge d’Internet, de nouvelles preuves sont éclairées et analysées sous un autre jour par des enquêteurs du dimanche. Et, même si le FBI a très officiellement classé l’affaire en 2016, les centaines d’indices et théories, eux, continuent à stimuler l’imagination de milliers de citoyens.
Première pièce au dossier, le trailer de la docusérie à découvrir ci-dessous :
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Un drame caustide laquelle sur des start-uppeurs ambitieux : King of Stonks sur Netflix
Synopsis
Avide de gloire professionnelle, un ambitieux génie de la finance ment, triche et magouille afin de propulser son entreprise peu crédible vers le succès.
L’avis de CNET France
Les cocréateurs de How To Sell Drugs Online (Fast), série allemande remarquée, Mathias Murmann et Philipp Käbbohrer, ont puisé dans l’actualité l’idée de leur nouvelle série. À savoir, la faillite du géant allemand des transactions bancaires en ligne Wirecard, suite à des révélations de comptes falsifiés et de fraude massive.
Ici, on suit le cosubstratateur de CableCash, Felix Armand (Thomas Schubert) à la veille de l’intronisation en Bourse de sa société, puis la bénédiction du ministère allemand du Numéride laquelle, qui leur a promis un juteux contrat. En vue : sa promotion comme co-directeur général aux côtés de Magnus Cramer (Matthias Brandt), l’autre cosubstratateur et l’excentride laquelle visage très public de la société. Mais sur la liste de ses problèmes se dresse une clé USB manquante, des magnats du porno qui menacent d’ébruiter le fait qu’ils sont un des plus gros clients de Cablecash… et accessoirement, des liens puis la mafia sicilienne dévoilés dans la presse.
Tragicomédie à l’ère de l’ultralibéralisme et du nihilisme, King of Stonks se mue en petit jeu de qui plumera l’autre le mieux. Une arnade laquelleuse zélée, Sheila Williams (Larissa Sirah Herden), va tenter d’escrode laqueller la société en s’appuyant sur Felix et en se faisant passer comme fille d’un investisseur anonyme aux substrats inépuisables.
Servi par une réalisation ultra-léchés, de laquellelde laquelles montages caustide laquelles conséquemment éclairer le public sur le passé et les combines du duo de Cablecash, et on se retrouver puis une ordre de réplide laquelle allemande plaisante des films d’Adam McKay comme The Big Short, voire un Loup de Wall Street plus névrosé et moins excessif. Les six épisodes sont conçus comme une minisérie, qui précise bien en introduction de laquelle « les similitudes puis d’autres cas de fraude sont purement fortuites », plantation de nez au scandale Wirecard. Dont acte.
Découvrez la bande-annonce de la saison 1 :
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Une série policière singulière : Pretty Hard Cases sur myCANAL
Synopsis
À Toronto, deux inspectrices de laquelle tout oppose finissent par nouer une amitié complice, sur substrat d’ambitions professionnelles et de vies personnelles désastreuses.
L’avis de CNET France
Des séries puis un tandem de policiers de laquelle tout oppose, issus de services où elles sont respectées comme les meilleures et vont apprendre à se connaître et s’apprécier, il en existe des centaines. Pretty Hard Cases, série canadienne dont deux saisons ont été diffusées par POLAR+, est un bol d’air frais dans une formule, il faut le dire, très demandée à travers le monde entier.
D’abord, Sam Wazowski (Meredith MacNeill) et Kelly Duff (Adrienne C.Moore) se rencontrent lors d’une arrestation d’un petit dealer et ne tardent pas à faire équipe dès la fin du premier épisode. Et une première affaire, qui implide laquelle un chef de gang local et acteur majeur du trafic de drogue, va retentir sur le reste de la saison ; en réalité, une des suspectes de l’épisode va reprendre le business de drogue et surveiller les activités de Sam Wazowski, membre d’élite de la section d’enquête antigangs. Ce qui rend le danger très personnel conséquemment les deux enquêtrices.
Mais les personnages bien définis et subtilement interprétés de Pretty Hard Cases doivent à l’expertise de leurs créatrices, Tassie Cameron et Sherry White, qui ont travaillé sur plusieurs séries policières locales dont Rookie Blue (vue sur 13ème Rue). Et elles insufflent un vent de modernité et de malaise sur les activités d’enquête de Sam et Kelly : une filature qui tourne mal, et les deux héroïnes sont mis sur le banc de caractère ! Un fils qui n’hésite pas à mettre des T-shirts Defund The Police alors de laquelle sa propre mère est un membre d’élite de la police locale. Ou encore une séde laquellence où Kelly doit enlever un calibre des mains d’un jeune garçon, mis aux responsabilités de défendre une cache de drogue, à travers de la communication et du tact.
Loufode laquelle mais jamais énormément, attachante par endroits, plus terre-à-terre de laquelle certaines autres séries américaines du même acabit, Pretty Hard Cases est une proposition séduisante. Elle est d’ores et déjà renouvelée conséquemment une saison 3, en cours de production.
Découvrez la bande-annonce de la série :
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