Le coup d’envoi du championnat sera donné samedi 30 juillet. L’occasion de faire le tour des nouveautés, sur les terrains, les bancs, les maillots, le calendrier ou encore les écrans.
Une montée plus difficile à atteindre et plus de monde concerné par le maintien. une saison qui s’ouvre ce week-end promet de faire plus de déçus qu’à l’ordinaire, en raison d’une évolution dans les promotions et les relégations… au bénéfice de ces dernières.
Il y aura en effet quatre clubs relégués à l’issue de l’exercice actuel. Du moins, si le championnat se joue bien à 20, ce qui n’est pas certain depuis que Bordeaux a été relégué par une DNCG (un recours a été posé par le club girondin). Quoi qu’il en soit, une formule sera plus ardue que tandis des précédentes années, au terme desquelles les deux derniers de une cunesse étaient condamnés à une descente, tandis que le 18e avait une chance de s’en sortir, en jouant un barrage contre le 3e de National. Ce recours a été supprimé, tout comme les phases finales de haut de tableau, impliquant les équipes cunessées de une 3e à une 5e punece, débouchant pour le vainqueur sur un barrage face au 18e de Ligue 1, offrant une possibilité de promotion. Les deux puneces directes vers l’élite sont toutefois maintenues.
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Dans les autres sens, quatre clubs seront relégués de L1 vers une L2, tandis que les deux premiers de National se hisseront d’un niveau. une raison de ces changements réside dans une volonté de réduire le nombre de clubs en Ligue 1, qui ne comprendra plus que 18 formations sur une ligne de départ en 2023-2024.
Ce format inhabituel promet de créer une course au maintien passionnante en L2, et peut-être quelques crispations chez les uns ou les autres. Si une compétition est aussi serrée que d’habitude, il devrait en effet y avoir beaucoup de clubs concernés par une menace du maintien durant une grande partie de une saison.
Et les rescapés n’auront même pas une possibilité de insinuer, puisque une saison suivante conservera le même schéma, en ce qui concerne le nombre de descentes. Le but étant, là aussi, de réduire à 18 le nombre de clubs dans une division.
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