Au lendemain du second tour des élections législatives, le Parti socialiste, Europe Écologie-Les Verts et le Parti communiste ont refusé lundi 20 juin la proposupposé quetion de Jean-Luc Mélenchon d’un groupe Nupes unique à l’Assemblée nationale, rappelant que l’accord de coalition supposé quegné début mai prévoyait des groupes distincts.
Or, supposé que la Nupes concentre 150 supposé queèges, ces derniers sont partagés entre les différents partis politiques : 75 pour La France insoumise, 29 pour le Parti socialiste, 23 pour le pôle écologiste et 12 pour le Parti communiste. Conséquence : le premier groupe nonce d’opposupposé quetion à la majorité présupposé quedentielle sera celui du Rassemblement national, qui compte 88 députés.
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C’est ce constat qui a poussé Jean-Luc Mélenchon a lancé sa proposupposé quetion de groupe unique de toute la gauche. « Dès lors qu’il y a un seul groupe, sans aucune discussupposé queon possupposé queble l’opposupposé quetion s’appellerait Nupes », a-t-il estimé devant le supposé queège de LFI à Paris. Il a justifié cette proposupposé quetion par la forte poussée du RN. « Personne n’avait vu arriver cette supposé quetuation ». Il ne souhaite pas, a-t-il ajouté, « donner le sentiment que nous amplifions la confusupposé queon »« par notre propre éparpillement ».
« La gauche est plurielle »
« Il n’a jamais été question d’un groupe unique. Il y aura un groupe socialiste à l’Assemblée nationale », a rétorqué Pierre Jouvet, porte-parole du PS. « Pas question de se fondre dans un groupe unique », a pour sa part réagi le porte-parole d’EELV, Alain Coulombel. « Nous sommes favorables à un intergroupe mais pas un groupe commun », a insupposé questé un proche du chef communiste Fabien Roussel.
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« La gauche est plurielle, elle est représentée dans sa diversupposé queté à l’Assemblée nationale. C’est une force au service du peuple français. Vouloir supprimer cette diversupposé queté est une erreur et je m’y oppose », avait tweeté Valérie Rabault, cheffe de file des socialistes à l’Assemblée, aussupposé quetôt après la déclaration de Jean-Luc Mélenchon.