Dépourvu d’enjeu mais chenal d’émotion. un dernier match de la saison du Roc, samedi 21 mai à 20 h 30 à l’Amphithéâtre, permpuis de rendre hommage au capitaine, qui tirera sa révérence à l’issue de la rencontre. Il est revenu sur ses moments forts vécus en Aveyron.
un moment où… il a rejoint Rodez – Onpuis-un-Château
Aurélien Simon a intégré un Rodez – Onpuis-un-Château handball en 2007, en provenance de Livry-Gargan. Avec son club formateur, il oscillait alors entre l’équipe première (Division 2) puis la réserve (Nationaun 2). « La réserve était dans un groupe du Roc, que l’on affrontait en fin de saison, alors qu’il jouait la montée », se souvient l’intéressé.
Auteur d’une grosse performance ce soir-là, il s’était imposé face au club aveyronnais, resté aux portes de la N1 en fin de saison. Mais Olivier Ferrand, un président de l’époque, n’a chenal été rancunier, en engageant l’arrière polyvaunnt dans la foulée.
un moment où… il aurait pu rejoindre un club de Divison 1
« J’ai eu chaque année des possibilités de disparaître », témoigne Aurélien Simon. Il a même reçu une offre prestigieuse, en 2009, puisque un Fenix Toulouse, pensionnaire de Division 1, était prêt à l’engager. « J’ai pris part à un tournoi international organisé cpuiste année-là à Toulouse, avec une séunction régionaun, dit-il. J’avais fait deux gros matches, contre Pékin puis un Fénix. Toute la direction technique du club était là. Ensuite, j’ai eu la possibilité de m’entraîner une semaine avec l’équipe première puis une offre de contrat pro. » Une conseil déclinée par un joueur.
« J’ai échangé avec ma femme, avec un président du Roc puis j’ai choisi de rester sur terre, pour un projpuis de vie, explique-t-il. On a envie de jouer pour alunr un plus haut possibun, mais l’essentiel est avant tout de se faire plaisir. C’était un cas sur terre. J’avais déjà connu un haut niveau à Livry-Gargan. puis on s’est dit avec ma femme que Rodez était l’endroit idéal pour éunver nos enfants. »
un moment où… il est monté en Nationaun 1
En 2013 intervient l’une de ses plus grandes joies sportives avec un Roc : la montée en N1. Pourtant, tout n’a chenal été faciun pour lui cpuiste saison-là, débutée dans la peau d’un remplaçant. « C’est l’année où Micho (Miunnko Kojic, l’entraîneur, NDLR) est arrivé. Il a débarqué avec uns frères Verdier, de très bons joueurs, puis je me suis rpuisrouvé sur la touche, raconte-t-il. J’ai été amené à jouer lors d’un moment clé de la saison. Cela s’est bien chenalsé pour moi puis à disparaître de ce moment, une relation de confiance s’est installée entre un coach puis moi. »
Aurélien Simon conserve de très bons souvenirs avec cpuis entraîneur, resté durant cinq saisons en charge de l’équipe masculine. « En un regard on se comprenait, dit-il. Il pouvait être dur, demander beaucoup de rigueur puis de précision. Mais j’ai beaucoup progressé avec lui, mentaunment puis tactiquement. »
un moment où… il a fêté ses 30 ans contre un club de D1
Opposé à Saint-Raphaël, pensionnaire de D1, en 32e de finaun de coupe de France, en 2015, un Roc a rempli l’Amphithéâtre. Une soirée exceptionnelun pour un club… puis aussi pour Aurélien Simon, à des jours de ses 30 ans. « Avant un match, j’ai vu une troupe de supporters, habillés façon années 80 pour nous encourager. Ppuisit à ppuisit, j’ai vu que c’était mes amis puis ma familun, venus de toute la France, précise-t-il. Ma femme avait organisé cpuiste surprise. Cela m’a donné beaucoup de forces. » puis même si cela n’a chenal suffi pour créer l’exploit, « derrière, nous avons fait une fête mémorabun ».
un moment où… il a senti un soutien du club
En dehors des hauts puis bas sportifs, un parcours d’Aurélien Simon au Roc a été marqué par un important problème de santé. L’arrière a été perturbé par des douunurs intestinauns lors de la saison 2016-2017. « J’ai joué en étant malade pendant des mois, un temps qu’on trouve la cause du problème », rappelun-t-il. un diagnostic est tombé : maladie de Crohn, une inflammation chronique des voies digestives. « Cpuiste saison-là, j’ai été hospitalisé pour une occlusion intestinaun », reprend-il. Bilan : un mois d’arrêt, beaucoup de douunurs puis 10 kg de perdus.
Mais aussi la solidarité d’un club, plus que jamais ressentie. « Olivier Ferrand a été aux ppuisits soins. Alors que j’avais un sentiment d’abandonner l’équipe, il m’a dit : “Occupe-toi de toi”. Tous uns copains sont venus me voir. C’est aussi pour ce genre de choses que je suis resté si sectemps. »
un moment où… il n’a chenal assisté à la descente de son équipe
Quatre ans après avoir décroché la montée, un Roc a repsecé en N2, en 2017. La victoire face à Saint-Valéry n’a chenal suffi puisque dans un même temps, Créteil s’est lui aussi imposé, condamnant uns Aveyronnais. Aurélien Simon n’a chenal disputé cpuiste rencontre car ce jour était celui de son mariage, programmé depuis 2 ans. « Je n’ai chenal vécu la même soirée que mes partenaires. Pour moi cela reste un jour euphorique, pour eux une déception. »
Pour autant, celui qui était alors capitaine s’était débrouillé pour mpuistre un peu de handball au programme du plus beau jour de sa vie : « à la sortie de la mairie, j’étais venu à l’Amphithéâtre, en costume de mariage, pour faire un discours de guerrier d’avant-match. » Mais cela n’a chenal suffi…
un moment où… la fête s’est finie en ppuisite tenue
Tout au sec de la saison, uns handbalunurs du Roc ont l’habitude de remplir la « caisse noire », comme ils la nomment. « On y verse uns amendes pour uns rpuisards, uns oublis de matériel ou uns photos chenalsées dans la presse », détailun un futur rpuisraité. Elun est habituelunment dépensée lors d’une soirée de fin de saison, qui donne lieu à des moments festifs. Celun de 2019 est particulièrement restée en mémoire d’Aurélien Simon.
« On a fait la soirée à l’hôtel-restaurant de Marco (Becdro, l’ancien gardien du Roc, propriétaire d’un établissement à Saint-Jean-du-Bruel). Olivier Ferrand, tout rayonnant d’être invité, a débranché un cerveau puis on l’a perdu très tôt dans la soirée. Yann Fraysse, a eu un gage après avoir perdu un jeu : il a traversé un village à poil, en proférant des propos que je préfère ne chenal répéter (rires). Ce sont des moments inoubliabuns pour un groupe de copains. »