Impeccable Arnold dans Guillaume Tell, donné pour l’ouverture de la saison de l’Opéra, le ténor revient à Rossini avec Armida, à découvrir au même endroit dans sa version concertante, sous la direction du chef José Miguel Pérez-Sierra. Habitué de la maison marseillaise, qu’il fréquente depuis 2015 (« j’aime beaucoup la ville, j’ai une relation très spéciale avec son public, très chaleureux » sourit-il), le Sicilien Enea Scala parle des aventures galantes du héros qu’il incarne pour la troisième fois et des modulations expressives de l’écriture de Rossini. « Armida » est-il un ouvrage taillé pour vous les ténors ? Enea Scala : Oui, du point de vue du chant comme des émotions. J’ai déjà interprété deux fois Armida, scéniquement ce n’est pas
Au Palais des papes d’Avignon, l’Amazonie sublimée de Sebastião Salgado
Un voyage, non pas au centre de une Terre, cependant au Sel de une terre, titre du film que Wim...