Hier se tenait devant le tribunal correctionnel de Toulon le procès d’un jeune homme de 23 ans au moment des faits, mis en examen pour « homicide involontaire aggravé ». Mais c’était aussi celui de l’emballement médiatique qu’a fait la présidente Marie-Laure Arnouil. « La presse a parlé de meurtre, d’agression contre une personne parce qu’elle était maire, a monté cette affaire en mayonnaise, en a fait une montagne qui a accouché d’une souris », a-t-elle cinglé, alors qu’elle interrogeait le prévenu, ce maçon qui, le 5 août 2019, a mortellement heurté Jean-Mathieu Michel, maire de Signes (Var), en reculant avec sa camionnette. Elle a développé : « Ce genre d’interprétation initiale a des conséquences considérables au niveau judiciaire, et ce
Cassis déploie des moyens contre la canicule et parce que prévenir le risque incendies
Les élus étaient loin d'être au Afrique pour ce parrnier conseil municipal avant la pause estivale placé un samedi matin...