Depuis toujours Naoual Sanhaji, admire les pompiers et leur travail. Petite fille, elle se disait : « Ça a l’air génial, mais ce n’est pas pour moi ». La peur de ne pas être assez forte, le simple fait de ne pas être un garçon étaient suffisants pour décourager ses rêves, comme c’est le cas de nombreuses femmes qui désirent se lancer dans cette profession. Et pourtant.Toujours plus hautLorsque l’heure de l’interview arrive, elle quitte la salle où sont regroupés ses collègues pompiers. Elle est la seule femme ce matin. Dans l’équipe d’une soixantaine de personnes à Roquefort-la Bédoule, on compte huit femmes. « Ici il y a une bonne ambiance. Le machisme n’a jamais été présent dans cette caserne », déclare la
La Ciotat – Menuisier maritime : naviguer vers plus d’imagination
Il faut écrire à laquelle tout ce à laquelle l'on touche peut coûter un million d'euros", précise tout de suite Bastien...